Un black week-end, c’est cinq jours exclusivement consacrés au ski, à la musique et à l’image. Le flyer promet «”cinq jours de nuits blanches et de pistes noires. Ou l’inverse”. Tout un programme ! Cinq jours de fête ininterrompus La particularité de l’événement, c’est de proposer des animations en continu pendant tout le festival. Il y en aura pour tous les goûts : ceux qui la jouent “vacances tranquilles” pourront profiter du ski en musique aux Grands Montets, de mercredi à dimanche. Ceux qui auront encore de la force après une journée sur les pistes profiteront chaque soir d’un “after ski” à la patinoire ou en centre-ville, place du Triangle de l’Amitié. Et pour les fêteurs de l’extrême, ceux que rien n’épuisent, la fête se poursuivra toute la nuit… avant de repartir de plus belle le lendemain, dès 11 heures, aux Grands Montets, à condition de pouvoir encore se tenir debout. Quelques films seront présentés lors de l’événement. Jeudi, “Heretik, we had a dream”, retracera plus de 10 ans d’activisme du groupe Heretik, des premières fêtes clandestines jusqu’aux plus belles scènes de spectacle. Vendredi, place à une vidéo “Odile Obtic”. Enfin, samedi, un film présentera le travail de l’artiste plasticienne Fanny Bouyagui, créatrice de “la braderie de l’art”, qui se tient chaque année à Roubaix et regroupe plus de 100 artistes internationaux. Infos sur www.blackweekend.com